Les aspirations du mal / l’origine de l’adjectif
- Mickael M
- 17 mai
- 6 min de lecture
Les aspirations du mal / l’origine de l’adjectif
Voilà ce que je réponds aux chrétiens :
Les paroles que vous dites tenir et que vous tentez inutilement d’utiliser contre moi, sont malsaines.
Oui : je sais que vous êtes actuellement persuadés que j’attaque votre liberté mais il est temps de découvrir comment c’est vous qui attaquez la mienne et celle de tous les vivants.
Mais je vous l’expliquerai après.
Si vous êtes croyants c’est que vous ne savez pas, mais je peux vous l’expliquer avec votre amour pour vos enfants.
Si vous avez besoin de vos yeux; regardez des photos des nouveaux nés, les tous petits, ceux qui apprennent à marcher, souvenez vous en. Orientez vôtre attention vers eux et restez parfaitement en phase avec le sentiment d’émerveillement à chaque question que je vous pose.
Vous saurez ainsi ce qui peut être fait ou non dans ce sentiment.
Vous y êtes ?
Très bien.
Tandis que vous êtes émerveillés : est ce que vous aspirez à " parler et bouger à travers eux ?" ... Quoi?!
Vous n’y avez même pas pensé n’est ce pas!...
Quelle question perturbante! ...
Souvenez vous de leurs tous petits visages, de leurs premiers sourires, de leurs toutes petites gencives. Ressentez.
Est ce que vous aspirez à " peser leur "âme"?...
N’importe quoi... : c’est choquant : tout cela est si loin de vous quand vous aimez...Il faudrait être indifférent et même plus..les mépriser, pour oser aspirer ou prétendre peser leur existence comme s’il s’agissait d’une vulgaire marchandise.
Songez comme ils seraient tristes de voir attribuer une valeur, une limite à la portée de leurs rêves. Ce serait les pousser à se déprécier, causer leur mal-être.
Restez tournés vers eux , ressentez et ne pensez à rien.
Tandis qu'ils tentent de bouger, fragilement, regardez leurs toutes petites mains, leur regard surpris de vous voir...
Quelle action criminelle auraient-ils commis qui doive être "rachetée" alors qu’ils ne savent rien?
...
Aucune
Et toujours tandis que vous êtes émerveillés :
Etes vous pourris d’orgueil au point d’oser vous comparer à eux ?...Etes vous dans un mal infini au point d’oser prétendre être plus purs et importants qu’eux ?!... et que tous les autres à toutes les époques?...
Arrivez vous à être l’immonde saloperie qui prétendrait même être eux : être la Vie ?!
Non : car rien de tout cela n’est possible dans l’émerveillement ni seulement compatible avec.
Je vous le dis à tous : les paroles que vous dites tenir de votre jesus composent des aspirations ennemies, que le personnage ait existé ou non.
Vous allez beaucoup trop loin en demandant à quiconque de respecter l’absence de respect, les accusations, attaques ainsi que le livre mensonger qui en fait la promotion.
La vérité est que la bible doit être éradiquée comme tout ce qui attaque la Vie.
La Vie arrive innocente : aucun ne doit grandir en se sentant impur, triste, coupable et redevable alors qu'il n’à rien fait, et tout cela pour qu’un personnage soit adoré.
Ils ont tous le droit d’être tranquilles, insouciants, heureux, en sécurité et en paix.
Le chemin de l’amour est le même que celui de la vérité nue : par chaque partie de vous, du fond de vous jusqu’à la réalité collective: simplement au travers vous, vers les autres : c’est cela le chemin.
Il n’y a jamais eu besoin de pratiquer des cultes ni d’appeler le Bien, car il est en tous ceux qui vous regardent émerveillés, du plus profond de l’existence de chacun.
Et ainsi il vous accompagne avant que vous puissiez parler ou prier, sans que vous ayez besoin de le faire, avant qu’une lettre ou un instant puisse en suivre une autre.
C’est parce qu’il vient de la profondeur que le Bien ne peut être associé ni limité à aucune linéarité : aucune suite de lettres ; aucun nom, ni aucune forme ou critère, car vous êtes tous là et il peut être connu par tous.
Rien ni personne n’est seul plus pur ni important, ni plus quoi que ce soit que votre existence à tous: aucun de nous, ni aucun gourou, prophète, dieu, aucun livre, objet ; aucune forme, aucune matière ni son, aucune profondeur, aucune vitesse.
Et là, il n’y a pas encore de linéarité par laquelle se projeter en arrière pour avoir une mémoire, ni penser ou formuler quoi que ce soit : il n’y a pas d’accumulation, rien ne s’y écoule; l’émerveillement est alors infini parce qu’il y a quelque chose de merveilleux : une possibilité.
Non : il n’existe pas de liberté de négation du vécu extrêmement clair des autres ; de toute leur existence, leurs perceptions, la connaissance avec laquelle ils sont nés.
Il n’existe aucune liberté de dire aux gens de quoi ils ont le droit d’être conscients pour ne pas offenser la version incompatible avec les autres, car toutes fausses, que vous préférez croire égoïstement pendant que la Vie souffre de ce conflit.
Il n'existe aucune liberté de revendiquer la chair la conscience, le chemin et l’origine des autres : toute religion est un crime contre l’existence de tous qui ne vous appartient pas.
Il faut devenir honnêtes et admettre que vous ne savez pas lorsque c’est le cas.
Le simple fait de choisir une version religieuse exprime un dommage ;
des gens vous ont promis des récompenses pour vous-mêmes et un paradis si vous acceptiez que la Vie émergente ne soit plus la priorité, si vous en detourniez l’attention, et si vous adoriez des noms et des personnages : et vous avez accepté leurs aspirations malsaines : en échange de ces récompenses, du plaisir, de l’apaisement individuel découlant du fait de vous croire sauvés.
Et à cet instant là, en vous mêmes, vous trahissez la Vie et choisissez tout ce plaisir personnel dans l’incompréhension du monde, la souffrance et la déchéance de la Vie émergente, plutôt que la compréhension et la paix pour tous.
Le mal à réussi à vous faire croire que le chemin entre vos yeux et l’origine de vos sentiments passerait par un prophète.
Beaucoup de gens disent que la vérité n’existe pas, que l’on ne peut avoir que des opinions : c’est faux.
Une opinion est une construction de la pensée un ensemble de branches qui poussent à partir du tronc qu’est la conscience d’exister.
Si je dis :" je pense, je crois , j’imagine, il paraîtrait, il semblerait..."
C’est une projection, une construction.
Mais quand je dis :" Je suis conscient de mon origine et du chemin jusqu’ici : il s’agit de mon vécu, de mon chemin très clair, mon droit le plus inaliénable ; et c’est ce que vous devez rendre à chaque être vivant : son droit le plus fondamental : le droit à l’existence.
Calmez l’orgueil.
Ce n’est pas parceque vous ne vous souvenez pas de quelque chose que nul ne le peut.
Et vous avez vu la perfection du mécanisme que vous avez en vous à l’origine...
Alors comment osez vous croire que la conscience en serait dépourvue ?...
La vérité existe : elle est le mécanisme clair qui explique toutes les religions et leurs effets extrêmement puissants sur vos perceptions tant que vous êtes vivants, et jusqu'à la dernière vitesse de vôtre conscience d’exister.
Et lorsque vous l’aurez compris, plus personne ne pourra détruire votre chemin en vous mêmes, ni la paix entre vous qui était à l’origine, en prétendant vous sauver.
Il n’y a aucun messie a attendre, voici la révélation incroyable que vous attendez : vous êtes tous capables d’éprouver des sentiments dont l’émerveillement, et de produire la réponse au besoin, l’interaction adéquate. Et d’innombrables personnes le prouvent chaque jour et dont on ne parle pas, comme il y a en toujours eu.
Vous n’avez pas besoin que qui que ce soit vous vole votre temps de vie à vous dans votre corps , comme si vous ne pouviez rien sans lui, comme si vous n’étiez pas qualifiés pour vivre, comme s’il était l’ensemble de toutes vos qualités à chaque instant et que vous n’étiez que le reste : une bande de pauv merdes inutiles : des "pécheurs". Tout cela est faux et c’est mal de l’enseigner.
Vous êtes ici, vivants.
Dans l’émerveillement, il n’est jamais question de vous retirer un seul instant de vôtre existence, parce que nous sommes simplement contents que vous existiez ; il n’y a alors aucune aspiration à ce qui serait "omni" : ni omniscience ni omnipotence : pas d’aspiration à posséder qui que ce soit ni parler toutes les langues du monde.
L’important n’est pas de savoir si des êtres le peuvent ou non : c’est ce que l’on fait de ce que l’on sait qui fait la différence, a l’échelle de chacun ; peu importe où il se trouve et même s’il ne sait rien ; parce qu’il suffit d’être tournés vers une seule chose et ne penser à rien.
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