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Ce qui semble intolérable

  • Photo du rédacteur: Mickael M
    Mickael M
  • 28 sept.
  • 5 min de lecture

Pourquoi redéfinir le droit et la liberté ?

Ce n’est pas une question, je vais le faire mais vous devez comprendre pourquoi.

Je peux utiliser des mots si voulez.

Il n’est plus temps d’appeler les abus « libertés » et « droits » quand bien-même ils furent décrits comme tels par ceux qui n’en savaient rien.

La définition adéquate d’une notion autour de quelque chose nécessite de savoir où et quand commence cette chose elle-même.

Même ce que l’on fait dans l’idée de protéger… si vous le mettez et le refermez sur quelqu’un et que cela l’écrase causant sa souffrance c’est mal élaboré, et si vous le faites bien trop large autour de lui alors la seule présence de l’objet bousculera les autres, en occupant la place que devrait occuper leur existence :

parce que ce qui devait alors être une protection à été pensé sans tenir compte de l’être lui-même. Alors cela cause la souffrance l’incompréhension et la guerre.

C’est le problème actuel de la notion de liberté.

Dans le chaos causé par des droits et libertés mal élaborés on peut hurler :

« Quel crime ! Des gens ont osé voler NOS esclaves !... ils ont volé le bétail des honnêtes gens que nous sommes !...

Des gens ont osé enfreindre NOTRE liberté de revendiquer LEUR chair, LEUR conscience, LEUR mémoire, LEUR chemin dans LEUR mort vers LEUR origine en quittant LEURS corps !...alors que nous avions "intelligemment" décidé que tout cela , tout ce qui est eux , était à nous !... »

NON : personne ne vole vos esclaves, et vous n’avez absolument aucun droit de revendiquer la conscience, la vie et la mort des autres pour un prophète ou un prétendu dieu.

Ce qui est relatif à la conscience des autres est en dehors de vos libertés.

Concrètement :

Je me souviens de mon origine et de mon chemin jusqu’ici et il n’y a aucun jesus allah ni odin où que ce soit. Ce n’est pas une question, ni une construction de la pensée comme une « opinion » : c’est ce dont je me souviens parfaitement : la génération de la conscience individuelle est une chose dont je suis né conscient : c’est ce que je me souviens d’avoir traversé AVANT d’être ici vivant, ici que c’est un résultat maintenu.

J’utilise donc ma connaissance innée pour expliquer ce qui corrompt le mécanisme, pour réparer le lien de l’être avec les autres et avec le monde, faire émerger la compréhension et la paix entre tous.

Je suis ici, comme vous, et je vais continuer à trouver les mots les plus adéquats pour révéler à tous ceux qui auront le courage d’oser comprendre, ce qu’est la profondeur consciente et comment cette chose à été utilisée contre tous ceux qui ne savaient pas , tous ceux qui ne se souviennent pas.

Comment est ce que je pourrais dire quelque chose de seulement compatible avec les massacres que vous voyez autour de vous alors? C’est impossible.

Je déclare que l’esclavage et la religion doivent être extraits et exclus de tout ensemble de droits ou libertés de l’être vivant ; et éradiqués.

La politique doit être exclue de tout enseignement aussi.

La liberté et le droit doivent être établis autour de l’existence et non autour des revendications qui l’attaquent en causant notre souffrance à tous.

Le droit est ce qui n’implique que l’ensemble que vous êtes individuellement, physiquement ainsi que dans la conscience.

C’est cela la précision et rien ne vous à été retiré : même si c’est regrettable, vous avez le " droit" et la " liberté " d’échouer vers la croyance, mais que cet échec n’implique alors que vous, reste en vous et disparaisse avec vous au moment de quitter ce monde.

Ce n’est qu’ainsi que la croyance est personnelle : si elle ne sort pas du cadre de votre personne pour corrompre la conception et les perceptions d’un autre.

Altérer le fonctionnement des sens des autres, provoquer des illusions émotionnelles : des rêves, des visions, le ressenti dit spirituel en enseignant des Associations n’est pas votre liberté :

Le mécanisme qui mène chacun à la réalité collective, par chaque dimension et chaque partie de lui est son droit fondamental inaliénable : vous n’avez pas le droit de le conditionner.

L’altération des fonctions cognitives, que ce soit par la drogue, l’alcool, ou le conditionnement par le principe d’Association est un crime contre chaque être vivant.

Enseigner à un enfant une association * c’est comme lui donner de la cocaïne ou de l’alcool : vous n’en avez pas le droit : ce n’est pas vôtre liberté.

La jonction libre et originelle avec la réalité collective est un droit.

Vous devez respecter le lien de chacun avec le monde et cesser de l’altérer par égoïsme orgueilleux et malhonnêteté : la vérité est que chaque être naît sans aucun souvenir de vos personnages mensongers.

En quittant le Temps humain ces mensonges malveillants sont éradiqués de toute façon par la vérité.

La jonction de l’existence avec la réalité collective est son lien avec le monde.

Et à l’origine, ce lien ne la fait pas souffrir en profondeur, dans l’émotion, ni ne fait souffrir les autres ensuite par ce que manifeste, dégage et demande l’être dont la conscience a été corrompue, dans la linéarité perçue.

Détruire la paix qui était en chacun, en lui faisant croire que les autres seraient ses ennemis, que des critères pourraient justifier qu’il les rejette, qu’il accepte leur souffrance, leur déchéance, leur abandon ; lui faire croire que les autres ne devraient pas être là : rien de tout cela n’est une liberté ni un droit et peu importe qui vous croyez ou prétendez être et dans quel dit domaine.

Faire cela c’est corrompre la Vie, détruire activement le bien-être de tout être vivant et la paix entre tous.

Que la haine vienne de la politique, la religion ou la prétendue science, n’a aucune importance : son enseignement doit être interdit.

C’est simple : ne laissez pas cette chose immonde entrer en vous : ne l’écoutez pas.

Ne croyez aucune association de personne ou de ce qui leur serait physiquement relatif avec des éléments, sentiments, évènements positifs ou négatifs, ni des chiffres.

Rien à foutre de ce que les consciences déjà corrompues racontent : n’écoutez pas les dits présidents, rois, enseignants de religions : tous ces gens qui ont oublié quelle était la chose la plus importante du monde et se sont mis à la combattre en s’imaginant mener un juste et courageux combat, être du bon côté...et même avoir le droit de parler en notre nom à tous.

C’est faux : ils ont tous échoué, nous en souffrons tous et en cela continuera tant que vous oserez croire que vous devez ou pouvez les écouter, qu’ils auraient du pouvoir et la moindre autorité sur notre existence.

Ce n’est pas en fonction du titre ou du déguisement que vous devez écouter ou non : seule l’expression compte : ce qu’elle véhicule, ce qu’elle manifeste.

Une seule chose est importante, une seule est la priorité et il suffit de l’oublier pour échouer.

Mais il va falloir faire mieux maintenant.

Il vous faut commencer par comprendre, et vous le pouvez même sans mots.

Ne cherchez rien, ni obtenir, ni paraître, ni prétendre, ni voir ni entendre. Ne cherchez pas à savoir qui où ce que vous êtes.

Tournez vous vers la Vie émergente et laissez l’émerveillement être infini

 
 
 

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