La "grande" question

Voulez vous savoir enfin pourquoi dieu existe pour certains et pas pour d'autres ?

C’est ici :

La conscience est organisée en profondeurs, en parties dont vous êtes

conscients ou inconscients.

Chacune constitue une antériorité dimensionnelle par rapport à une autre, une vitesse d’existence vécue comme plus lente, plus longue, à laquelle vous discernez et générez le mouvement : plus précisément.

Parmi ces profondeurs s’en trouve une où est générée la perspective, puis la pensée, qui plus tard deviendra la parole.

Ceux qui ne contrôlent pas consciemment cette vitesse d’existence, ne s’en souviennent pas, ressentent et reçoivent ce qui en vient comme des ensembles finis venus d’en dehors du fonctionnement des sens physiques ; au delà d’eux-mêmes : venant de ce qui était dimensionnellement avant l’ensemble qu’ils sont ici : de " dieu".

Ceux là ressentent son existence comme une certitude qui est base de toute leur moralité et du sens qu'il trouvent à la Vie.

Votre jonction avec la réalité est divisée en conscient et inconscient, cas auquel vous ne savez pas et avez alors la possibilité d’être croyants ou non.

Mais lorsque votre jonction est moins divisée ( dite indivisée) : le chemin entre la réalité collective et l’origine par la profondeur est alors plus conscient.

Sachant parfaitement ce qui génère la parole ,pour vous en souvenir très clairement, vous n’avez absolument pas la possibilité de " croire" ni de " respecter " les revenications des dites paroles de " dieu" : elles constituent des mensonges de tout ce que vous vivez, avez vécu, connu, toute votre mémoire, toute votre connaissance innée : toute votre conscience : à vous et à tous.

Et si vous naissent avec la profondeur consciente, vous savez que soit les religions existent soit vous existez : que vous ne pourriez pas exister si une seule religion était vraie.

Mais attention :

Naître conscient qu’il n’existe aucun dieu où que ce soit n’est ni un crime ni une mauvaise action. Être n’est pas une action que l’on devrait s’ autoriser à juger. Être n’enfreint la " liberté " de personne d’autre.

Nul n’a le droit de dire aux autres que quelqu'un les aurait créé ni l’enseigner.

Non : il n’existe pas de "liberté "ni de "droit" de dire aux autres de quoi ils peuvent être conscients ou non pour ne pas offenser ce que l’on préfère imaginer de l’existence des autres : leur chemin vécu.

Alors voici :

J’interdis à quiconque : y compris tout prétendu dieu qui n’est que le noeud conscient d’un prophète, de revendiquer la chair, la conscience, et le chemin des autres dans leur mort vers leur origine, ou leur origine elle-même.

Tout contrevenant verra sa malveillance et ses mensonges révélés et détruits par le mécanisme qu’est la vérité : et qui est à tous.