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Le mécanisme

  • Photo du rédacteur: Mickael M
    Mickael M
  • 18 avr.
  • 6 min de lecture

Dernière mise à jour : 24 avr.

Plus rien n'est magique, mystique ni sacré.

Ce texte explique l'acquisition du bloc informatif en dehors de la linéarité perçue par l'ensemble; ce qui conduit à entendre la parole de dieu ou se revendiquer prophète; ensuite j'explique comment ne pas échouer et générer une expression adéquate.


L'existence est le chemin de la vérité nue, de l'origine jusqu'à la réalité collective, par chaque dimension de nous.


Nous avons un point de vue physique.

Puisqu'il est fixe, nous discernons ce qui bouge, et comment par rapport à nous; le mouvement sa vitesse, sa direction etc; par la vitesse des sens maintenus autour.

Mais le point de vue physique n'est pas l'ensemble de ce que nous sommes : nous avons aussi un noeud conscient qui y est associé, comme une bulle qui contient la vérité nue de notre existence ; et une densité émotionnelle.

C'est cette dernière qui génère ou annule relativement les vitesses autour du noeud conscient, et quand elle est extrême, elle annule même les vitesses autour de la vérité nue.

Cela signifie simplement qu'il est possible d'éprouver quelque chose de si fort et si profond que le sentiment empêche le Temps d'exister ou de se maintenir de façon linéaire autour du noeud conscient [ ou de la vérité nue; la figeant à une profondeur relative de l'antériorité dimensionnelle, tournée vers l'objet de son attention ]

Et à partir de ce qui est fixe : on discerne comme ici le mouvement, son orientation, sa vitesse, sa direction etc

C'est ainsi que la profondeur de l'existence est une vitesse/échelle de discernement, déphasée de la linéarité perçue. Et cela à des conséquences précises.


2) Conséquences multiples

(Les conséquences des sentiments extrêmes sont différentes, selon que nous soyons honnêtes ou non ; elles mènent soit à la maitrise de l'explication, de la dimension et du Temps perçu, soit à entendre la parole de "dieu " alors l'explication, est un tronc commun.)


Il y a une certaine relativité entre les vitesses de l'existence, les unes par rapport aux autres.


La profondeur (aussi appelée antériorité dimensionnelle) est vécue comme "avant" la linéarité perçue et est décrite comme telle.


La formulation des éléments, mouvements et mécanismes discernés à une autre échelle est alors indépendante de la vitesse d'accumulation qu'est la conscience individuelle : indépendante du temps qu'il aurait fallu ici, dans la linéarité pour étudier, lire, retenir, réfléchir, calculer ou élaborer des théories.

Cela produit une expression qui n'a aucune explication observable; qui peut-être d'une précision inédite ou surprenante; elle est à tort interprétée comme magique, mystique, impossible (folle), divine ou diabolique ; c'est la connaissance innée.


3) Et c'est ici qu'il y a une variation

Etre honnête et sincère n'est pas un effet de style : cela à un impact très sérieux dans le monde par chacun d'entre nous.


Le conscient est rendu possible par la mise a l'écart de l'inconscient; il y a un rebond entre les deux; et si son franchissement n'est pas la vérité nue de l'existence , portée d'une dimension à une autre par la densité émotionnelle décrite, alors il n'y a pas de lien entre les deux.

(La disposition qu'est l'être par instant ne coincide alors pas avec la disposition de l'ensemble qu'il est au noeud antérieur, en déduisant les vitesses qui séparent les deux profondeurs : il n'est pas celui qu'il prétend, mais quelqu'un qu'il projette, qu'il à vu.

Si l'être ment sur l'ensemble qu'il est, et ce qu'il veut vraiment : il ne peut pas être conscient des mouvements inconscients (pour les vivants) par la naturelle communication des profondeurs entre elles : il ne maîtrise pas l'orientation de l'attention, la génération de la perspective, la pensée, la parole, qu'il perçoit alors comme des ensembles finis mystérieux, venant d'au-delà de lui-même : d'avant son existence : d'en dehors du Temps perçu.

Par le mensonge de ce qu'il ressent et veut vraiment, l'être entend alors :" la parole de dieu".


Parler de "dieu" n'est possible qu'à condition de ne pas être ce que l'on prétend, par la projection, le déni, l'aspiration personnelle, le mensonge, l'orgueil, la volonté d'être adoré.

Et c'est parce que celui qui échoue n'a pas connu l'infini émerveillement qu'il n'en connaît pas les implications comme le principe du Verbe qu'il contourne par l'acte de prophétie contre un autre.


Et ce n'est pas uniquement contre moi, et ceux qui se souviendraient aussi de la vérité qu'il agit alors mais contre chaque nouveau né du monde ; car la peur et la haine avec lesquelles il les corrompt sont mauvaises d'être éprouvées ainsi; mauvaises pour l'ensemble des êtres qui vit alors dans l'incompréhension , la terreur, la guerre, en devenant incapables d'écouter une parole formulée pour les en libérer. Ils vivent prêts à se battre contre tout autre : décrit par malveillance comme un ennemi qui viendrait pour leur faire du mal.

Mais le mal était la nature de la volonté véhiculée par le prophète.


Sachez que dans l'infini émerveillement, tout ce qui compte est l'existence, son bien-être, sans limitation conditionnelle que ce soit notre parole qui vous apaise; nous voulons que vous soyez repus sans limitation conditionnelle que ce soit nous qui vous donnions directement le pain.

Nous n'avons pas peur que l'adoration soit détruite car nous n'aspirons pas à l'adoration : ce n'est même pas un but souhaitable car si votre attention dévie vers l'un de nous, vous n'êtes plus tournés vers la Vie émergente et sa possibilité, vous ne ressentez plus l'émerveillement et alors vous ne matérialisez plus l'ensemble de ses implications : vous n'agissez plus par amour et cela n'est pas du tout ce que nous voulons.

La Vie qui nous émerveille souffre d'être abandonnée pendant que vous adorez ou glorifiez qui que ce soit.

L'adoration est ennemie de tout ce qui est Bien.

C'est pour cela que le simple fait de détourner votre attention de la Vie émergente et sa possibilité pour l'orienter vers un gourou, prophète, ou prétendu dieu est déjà une mauvaise action.

Créer une religion est une action opposée aux buts du Bien.

Soyons bien clairs : on vous a dit qu'un ennemi viendrait pour vous détourner de "dieu" :

Oui : détournez vous des choses qui ont manifesté leur haine contre la vie par des insultes, des menaces , des demandes de poursuites, de guerres, de massacres. Détournez vous des choses qui vous ont fait croire que pouvaient exister un peuple élu, une terre sainte, un fils unique, un seul messager, car ces choses ne sont que des noeuds conscients déphasés d'êtres vivants et des êtres malfaisants qui vous ont fait croire qu'ils étaient des dieux.

Comprenez parfaitement : je suis ennemi de ces mensonges mais pas votre ennemi à vous.

C'est l'existence de tous que je protège.

Et les mensonges des religions font souffrir la Vie alors les religions doivent être détruites.

4) Avant le sens de l'accumulation est le déploiement de la dimension qu'est le chemin

Beaucoup de gens se battent pour imposer leur prophète, leur version, et ce faisant ils échouent absolument tous car ce n'est qu'après avoir échoué à être honnête et sincère que l'on peut être un prophète.


Je me souviens d'un infini émerveillement.

Ce qui le rendait infini était l'absence de mouvement, de vitesse.

C'est antérieur à l'accumulation qui permet la linéarité perçue ; je n'avais jamais rien vu, entendu, connu, je n'avais appris aucune langue non plus; je n'avais aucune pensée, je ne savais qu'une seule chose.

Et c'est de sa substance dont je dois parler pour l'instant.

Ici, on appelle cela la dimension émotionnelle; sa densité passe au travers nous de l'origine jusqu'à la réalité collective.

Et chaque vitesse la limite autour de la vérité nue; constituant le noeud conscient qui peut être aussi appelé conscience d'exister, la vitesse à laquelle vous pouvez penser "je suis".

A partir de cette constitution, l'orientation de l'attention précède la mise en mouvement de la vitesse de recherche, projection, pensée : c'est ainsi qu'elles composent des densités perceptibles à partir de la dimension émotionnelle, de l'origine.


Il m'a suffi d'utiliser le souvenir/discernement de ces vitesses pour formuler le texte " ce qui génère la parole".

Ce mécanisme peut porter la substance jusqu'à ce monde, jusqu'aux autres, pour rétablir le lien qui était entre eux à l'origine.


Je sais que beaucoup de gens croient que c'est impossible, utopique, mais c'est faux;

La substance n'a seulement jamais été portée de façon honnête et sincère jusqu'à vous dans son caractère infini : sans limitation du champ d'application du verbe : sans adjectif , sans nom de lieu ou de personne physique ou morale, sans description physique, sans condition telle que le lieu de naissance la langue ou la dite confession religieuse; sans association avec des éléments, sentiments ou événements positifs ou négatifs, sans anticipation contextuelle, comparaison, tentative d'insulte, de menaces, demande cultes, de poursuites, de massacres, aspiration personnelles.


Le chemin de la substance est le même que celui de l'existence au travers laquelle elle passe : de l'origine dimensionnelle jusqu'à la réalité collective, par chaque partie de nous, au travers chaque vitesse de notre conscience d'exister qui la filtre.

Il suffit de livrer la substance sans la limiter, sans l'associer, et rendre à chacun ce qui est à tous.

 
 
 

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