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Du lien entre tous à l'origine

  • Photo du rédacteur: Mickael M
    Mickael M
  • 28 sept.
  • 4 min de lecture

Un mensonge a corrompu et détruit le lien.

Et cela parce que les gens ne se souviennent pas du chemin entre l’origine et la réalité collective.

La conséquence est que chacun est poussé a croire qu’il a le droit ou la liberté de décider qui peut exister et où, et que cette volonté malsaine pourrait être justifiée si suffisamment d’êtres " votent" en ce sens et ce but.

Nul n’en a le droit, quel que soit son titre et son déguisement.

Aucun roi, minitre, président, prophète nommé dieu : rien ni personne n’à ce droit sur l’arrivée de l’existence dans ce monde.

Il n’y a pas à avoir d’opinion et il n’y a pas de décision à prendre contre l’existence des autres.

Chacun à gagné son droit d’être ici vivant en faisant le voyage de l’origine jusqu'à réalité collective : de l’infini jusqu'au maintien de sa conscience : peu importe "où" elle se trouve.

Dans ce monde, l’existence est divisée en de nombreuses personnes.

Et c’est là que commence votre lien conscient avec elles, par l’attention, le fonctionnement des sens, à partir de votre conception : ce que vous croyez savoir d’eux.

Ce que vous ressentez alors.

Mais vous ne pouvez pas rester dévorés et détruits par la haine.

Les autres ne sont pas les seuls à souffrir de ce que vous ressentez : vous aussi.

Arrachez cette souffrance désagréable de votre conscience cette envie irrépressible de faire disparaître les autres.

Elle résulte de votre adhérence a l’idée qu'il pourrait exister des conditions d’observation dans lesquelles vous pouvez accepter les autres ou non ; reposant sur tout ce que vous avez crû savoir, tout ce que l’on vous a assuré être important : la culture, la patrimoine, l’histoire, la langue, la dite couleur de peau, les cheveux, la forme du visage...

On vous a fait croire que vous étiez limités à cela, que cela constituait votre " identité" mais c’est faux : l’identité n’existe pas.

Aucun " pays" n’est le vôtre.

Ni le sol ni l’air ne vous appartiennent et ils seront encore ici après que vous en soyez partis.

Ce que vous voyez est l’information relative à la condition d’émergence : mais pas la vérité de ce qu’est chacun dans ses émotions, dans ses pensées et dans la nature de la volonté qui l’anime.

Chaque être est bien plus que ces informations et capable de bien mieux qu’échouer en tentant de les protéger comme s’il perdait quelque chose par l’existence des autres.

Personne ne perd ce qu’il est en lui-même parce qu'un autre existe.

Et plus la haine est dense et plus il y a de mensonges dans votre conception : de critères sur le chemin que fait votre attention jusqu'aux autres.

Plus vous cultivez des critères : de notions politiques, de la dite science, et moins vous êtes capables d’accepter la vérité, les autres que vous voyez.

La recherche de critère est une vitesse et l’accumulation de vitesses par profondeur compose l’énergie du rejet dans le sens de la jonction avec le contexte.

Et ce n’est pas que vous n’auriez pas de dite " âme ", vous êtes là, mais vous avez été corrompus dans votre conception par l’enseignement.

Et si vous êtes nés avec la profondeur consciente mais ressentez quand même la haine, c’est que vous concevez trop vite votre conscience d’exister par profondeur.

C’est cela qui rend possible la comparaison et la formulation d’adjectifs tels que "élu, saint, béni, supérieur, seul, unique, supérieur etc"

Vous pouvez maintenant comprendre comment naît la haine de façon mécanique et réconcilier la relativité de la science avec la distorsion vécue qui fondait chaque religion : mais avez-vous le courage d’oser comprendre ?

Allez vous continuer à nier la relativité, et le fait que le monde ne soit pas en paix juste pour prétendre connaître la vérité?

Ou bien allez vous saisir l'occasion de réparer vos liens avec les autres, et vous rendre alors capables de les percevoir en paix en vous-mêmes comme vous l’étiez avant l’impact de la notion ; capables de bâtir enfin un monde que l’existence pourra rejoindre en sécurité et en paix?

Parce que c’est cela le but et non la maîtrise de la dimension et du Temps : qui ne sont que des conséquences du souvenir conscient, qui est aussi le chemin de la vérité nue entre l’origine et la réalité collective.

Et il n’y a que deux choses : la haine qui vous dévore dans le massacre et la souffrance de nous tous : ou l’émergence de la compréhension et la paix, au delà de tout ce que vous avez crû possible, même en vous.

Vous ne savez pas encore la vérité ?

Mais que cherchez vous alors que vous êtes face aux autres.

Ne cherchez pas à obtenir des données ou des preuves. Ne cherchez pas à voir, ni entendre.

Ne croyez plus savoir par avance ce qu’ils sont ou non.

Ne pensez à rien, ne cherchez pas de conditions, de correspondance avec de critères, ne cherchez pas à vous comparer, ni paraître, ni être. Ne vous demandez même pas ce que vous êtes.

Laissez l’émerveillement reprendre sa place. Et avant que vous puissiez le réaliser, ils sont l’existence.

Il n’y a que l’émerveillement face a elle.

Le fonctionnement des sens a été annulé mais vous aurez oublié que vous en aviez ici.

Il n’y a plus de pensée ni de mémoire, plus aucune vitesse de maintien ni de séparation de éléments de la matière mais vous ne savez pas encore que cela existe ici.

Le sens du Temps dans lequel s’accumule la conscience individuelle n’à pas encore existé, vous ignorez que "je" existera ici, et que ici existe.

L’émerveillement vous aura alors porté de la réalité collective jusqu'à l’origine de tout par la profondeur de vous-mêmes

 
 
 

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